Investir dans l’immobilier est l’un des moyens les plus surs pour se faire de l’argent rapidement. Et comment ? Par l’investissement locatif. En effet, plusieurs raisons poussent les Français à le réaliser. Non seulement, parce que c’est sécurisant, mais aussi parce que c’est rentable sur le long terme. Ce qu’il faut ? De bonnes connaissances et un travail bien réfléchi :
L’achat du bien immobilier est sans doute l’étape la plus difficile dans ce type d’investissement. Première chose à faire ? Définir un budget pour l’achat de sa maison ou de son appartement. Si vous parvenez à l’acheter en autofinancement, et bien, ce serait l’idéal. Néanmoins, il faut savoir négocier. Moins l’appartement est cher, plus la rentabilité est élevée.
Vous achetez votre immobilier à crédit ? Eh bien, obtenez les offres de financement qui ne feront pas flamber votre taux d’endettement. Sont à prendre en compte : votre salaire, vos revenus locatifs, vos épargnes, vos crédits en cours… Sachez que votre capacité maximale d’endettement ne doit pas dépasser 33 % de vos revenus.
Que ce soit pour une location classique ou saisonnière, il est toujours primordial de choisir un lieu agréable, à fort potentiel qui valorisera davantage votre bien. Par exemple, pour la location classique, les locataires préfèreront une adresse à proximité des transports en commun ou des autoroutes, des commerces… Si vous ciblez les étudiants, investissez dans une ville universitaire. Pour la location saisonnière, il faut absolument que votre bien se trouve dans une zone touristique.
D’une part, si vous investissez dans le neuf, vous bénéficiez de certains dispositifs de réduction d’impôts, tels que le dispositif Pinel, la LMNP, etc. Et si le bien est acheté en VEFA, cela implique : garantie de parfait achèvement, garantie biennale et décennale, frais de notaire moins élevés, etc.
D’autre part, si vous investissez dans l’ancien, le prix du mètre carré sera relativement inférieur de 15 à 20 % du prix du neuf. Les réparations locatives sont à la charge du locataire, mais les frais peuvent être déduits des loyers.
Tout le monde peut prétendre être le locataire idéal. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Ainsi, pour trouver le bon payeur, vous devez vous informer sur sa solvabilité, en réclamant une copie de son bulletin de salaire, de son dernier d’avis d’imposition, etc. Les candidats en CDI avec au moins 2 ans d’ancienneté dans une entreprise peuvent être de bons payeurs, tout comme les étudiants. Néanmoins, comme personne n’est à l’abri des difficultés, pensez tout de même à souscrire une assurance loyer impayé et une assurance juridique.
Provenant de la rentabilité du bien, le cash-flow désigne les flux de liquidités générés par l’activité de location. Ainsi, les flux financiers entrants (loyers…) et sortants (taxe foncière annuelle…) doivent être pris en compte. Avec un cashflow positif qui s’appréciera d’année en année, au gré des augmentations de loyer, vous toucherez de plus en plus de revenus.
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